Objectifs :

Niveau B1: lire

Lire et rechercher les informations contenues dans des textes de divulgation d’une certaine longueur et dans des citations tirées d’ouvrages spécialistes.

Niveau B2: lire

Lire et comprendre les détails de textes traitant de thèmes relevant du secteur professionnel et du domaine d’étude.

Comprendre un rapport écrit présenté dans le cadre d’un cours de recyclage sur l’orientation professionnelle.

Niveau B1: écrire

Prendre des notes pendant que quelqu’un parle d’un sujet qui intéresse le domaine d’étude et s’en servir pour rédiger un texte.

Niveau B2: écrire Reformuler des informations provenant de sources différentes pour rédiger un rapport sectoriel.
Niveau B1: s’exprimer oralement en continu Exposer des informations relatives au domaine d’étude de manière compréhensible et convaincante.
Niveau B2: s’exprimer oralement en continu Présenter un exposé sur un thème lié à la formation professionnelle et étayer son point de vue par divers arguments.

 


Universalisation

ACTIVITÉ 1

Niveau B2: lire

Lire et comprendre les détails de textes traitant de thèmes relevant du secteur professionnel et du domaine d’étude.

Niveau B2: écrire

Reformuler des informations provenant de sources différentes pour rédiger un rapport sectoriel.

Lisez attentivement le texte suivant, ensuite analysez le morceau qui concerne la paternité de ce concept juridique si difficile à définir qui est la clientèle, bien incorporel, enfin répondez aux questions posées dans la dernière partie.

105ème congrès des notaires : Le fonds de commerce à l’étude

 

Les 8 000 notaires français sont invités à se rendre à leur congrès, qui se déroulera à Lille en mai 2011. Ils se pencheront sur un thème qui sort un peu de leurs prérogatives habituelles, les «propriétés incorporelles», ainsi que le droit appelle les fonds de commerce, libéraux et agricoles.

Pour la première fois depuis des années, le congrès des notaires, qui se déroulera à Lille du 17 au 20 mai prochain, pourrait bien se tenir dans une ambiance morose. En effet, «avec la crise, notre activité liée à l’immobilier s’est quelque peu réduite», admet Didier Froger, choisi par ses pairs pour exercer la fonction de président du 105ème congrès. Le praticien assure avoir vécu, au cours de sa carrière, deux autres crises immobilières, «mais celle-ci est la plus brutale ; si les prix baissent peu, le volume des transactions est très affecté», affirme-t-il. Raison de plus pour inciter les praticiens à intervenir «en-dehors des domaines de compétence réservés que sont le droit de l’immobilier et celui de la famille», explique Didier Froger. De fait, le thème de l’édition 2009 sort des axes de réflexion habituellement abordés par la profession.

Les notaires se pencheront à Lille sur les «propriétés incorporelles», autrement dit les fonds de commerce artisanaux, libéraux ou agricoles. Didier Froger, qui prépare le congrès avec son équipe depuis deux ans, reconnaît qu’il s’est d’abord intéressé «à l’exercice de l’agriculture». Si on y ajoute «les activités viticoles, sylvicoles et ostréicoles», les conseils juridiques donnés par les praticiens dans le domaine agricole concernent «35 à 40% de la profession», affirme le notaire, installé à Vierzon (Cher), et qui dispose d’un « cabinet secondaire dans une commune de 1000 habitants ». La notion de «fonds» concerne aussi de nombreuses autres professions, telles que les commerçants, artisans, médecins ou kinésithérapeutes, mais aussi les notaires et les avocats. «Ces propriétés incorporelles sont une richesse économique dont la valeur constitue une part croissante des exploitations», assure, sur le site du congrès des notaires, la ministre de la Justice, Rachida Dati. L’équipe chargée d’explorer l’état du droit a établi « des constats parfois accablants », explique le Conseil supérieur du notariat (CSN). Car les fonds « sont soumis à des textes disparates », détaillent les notaires. Ainsi, alors que le fonds de commerce « trouve son origine dans une loi de 1909, le fonds agricole n’existe que depuis un texte de 2006 ». Pour les professions libérales, même, « il n’y a pas de texte et la notion de fonds découle simplement de l’évolution de la jurisprudence », précisent-ils.

Le fonds, une invention des notaires

Peut-on, malgré ces disparités, donner une définition du fonds? Didier Froger ne saurait s’y risquer. « Je préfère que l’on pose la question au rapporteur général du congrès », lâche-t-il en souriant. Mais Didier Coiffard, qui exerce cette fonction, demeure tout aussi elliptique. «En réalité, il n’existe pas de définition légale», affirme-t-il. Il faut insister un peu pour que le praticien consente à se montrer plus précis. «On peut parler d’un ensemble complexe de biens affectés à une activité», ose-t-il. Parmi ces «biens», figure en premier lieu la clientèle. Les notaires revendiquent pourtant la paternité de ce concept juridique assez flou. « Dans l’histoire, c’est la profession qui a créé le premier fonds de commerce. Au début du XIXème siècle, les grossistes en vin du quartier de Bercy, à Paris, voulaient garantir leur commerce », raconte le rapporteur. Les notaires ont alors imaginé un système qui ne pénalise pas ces marchands, en comptabilisant, dans leurs avoirs, non seulement la marchandise et le matériel, mais aussi «une survaleur correspondant à la capacité du commerce de générer un mouvement d’affaires», poursuit Didier Coiffard. Le concept, d’abord validé par une loi fiscale dans les années 1870, est consacré par le législateur en 1909. Les droits des pays occidentaux disposent peu ou prou d’instruments similaires. «En Allemagne, la notion de fonds de commerce englobe également le passif lié à l’activité», précise le rapporteur général. Les notaires demeurent confrontés, de nos jours, à la notion de propriété incorporelle. On les imagine volontiers conseillant le boutiquier du centre-bourg, l’artisan âgé ou le médecin de campagne sur la transmission de leur clientèle. Comme pour casser cette image désuète, le président du congrès affirme qu’il arrive aussi aux praticiens d’intervenir «dans le cadre de la fusion de sociétés ou pour le compte de franchisés», même si les fusions et acquisitions, apanage des cabinets d’avocats d’affaires, «ne constituent pas le quotidien des notaires», admet Didier Coiffard.

« Remettre de l’ordre » dans le droit

Le congrès de Lille entend «remettre de l’ordre», selon l’expression du rapporteur, dans le droit complexe et disparate des propriétés incorporelles. Les notaires, les professeurs de droit et autres praticiens qu’ils auront invité à leurs travaux débattront, lors de quatre commissions, des diverses propositions élaborées par l’équipe du congrès . Le CSN livre un exemple des difficultés aujourd’hui rencontrées par les professionnels et auxquelles le notariat entend mettre fin. «Joseph, plombier employant 9 salariés, se trouve à la tête d’une entreprise artisanale. Mais, s’il organise son activité dans le cadre d’une société, il relève du droit commercial et devient donc commerçant. Par ailleurs, s’il prend un apprenti, il emploie dix personnes, mais reste artisan. Mais si l’apprenti devait ensuite être engagé, Joseph franchirait alors la frontière qui le sépare du statut de commerçant !» La question, assurent les notaires, «n’est pas simplement théorique, puisque la comptabilité, le régime de taxe professionnelle et de TVA, ainsi que les règles à respecter en cas de vente du fonds sont différentes pour un artisan et un commerçant». Le flou de la frontière entre les deux statuts «est cause d’insécurité juridique pour tous, vendeurs, acheteurs et créanciers», estiment-ils. Le congrès entend aussi se pencher sur les spécificités «du XXIème siècle . Ainsi, «lorsque le commerce se développe sur Internet, la notion de fonds de commerce a-t-elle encore un sens ? Où sont les éléments permettant de le définir ?», s’interroge le notariat, qui se penchera sur l’épineuse question des téléchargements illicites. Mais la proposition phare de la commission chargée du «XXIème siècle» portera sur un thème beaucoup plus traditionnel puisqu’elle visera à séparer le patrimoine professionnel du patrimoine personnel des entrepreneurs, libéraux ou artisans. «Les outils actuels ne permettent pas suffisamment d’assurer cette distinction», observent les notaires, qui plaident pour la création d’une «pro-personnalité».

Olivier RAZEMON

http://www.echos-judiciaires.com/vie-des-professions/105eme-congres-des-notaires-le-fonds-de-commerce-a-l-etude-a6038.html accès gratuit

ACTIVITÉ 2

Le mot bazar semble appartenir au passé, il évoque in lieu où l’on vend toutes sortes d’objets ; cherchez l’étymologie de ce mot et du verbe bazarder, écrivez ensuite un conte de fantaisie dont l’histoire se déroulera dans ce lieu.

ACTIVITÉ 3

Du petit commerce d'antan (boutiquiers, calicots, bazardiers, épiciers,..), à la naissance des grands magasins de la deuxième moitié du XIXe siècle (par exemple,en France: Le Bon Marché, Les Galeries Lafayette...), jusqu'aux modèles de distribution les plus récents: dans un rapport ordonné, montrez comment les modèles de la distribution ont évolué jusqu'à nos jours. Cherchez des documents ( manuels, presse, œuvres littéraires...) qui témoignent de cette évolution.

 

Actualisation

ACTIVITÉ 1

Cherchez sur un site un contrat d’achat-vente d’un fonds de commerce pour vérifier la présence des éléments qui donnent la valeur au fonds.

ACTIVITÉ 2

Rédigez une annonce pour proposer la vente de votre fonds de commerce.

ACTIVITÉ 3

Niveau B1: lire

Lire et rechercher les informations contenues dans des textes de divulgation d’une certaine longueur et dans des citations tirées d’ouvrages spécialistes.

Niveau B2: écrire

Reformuler des informations provenant de sources différentes pour rédiger un rapport sectoriel.

Lisez attentivement le texte suivant et décrivez ensuite l’évolution présentée ; à votre tour poursuivez votre observation du commerce dans un futur désormais prochain où les clients sont des cybernautes.

La vente en ligne ! profil d'une évolution

Aujourd'hui, tout est sur internet les banque, les grandes surfaces, les magasins ….
La vente en ligne, aspect pratique de la vie quotidienne des internautes par lequel chacun peut faire ses emplettes.
Il est vrai que les rapports humains disparaissent de plus en plus en faveur du temps gagné.
Les petits commerces ont leur vitrine sur le web. Cela va des fabricants de saucissons à la vente de produits high-tech.

On imagine à peine le gain financier que le web peut apporter. Plus besoin de stocker , de recruter du personnel, de mettre en place une infrastructure adaptée à l'activité.

Tout ce qui se fait dans la réalité on le retrouve sur la toile. Depuis son bureau une personne peut vendre ses produits par le biais de son ordinateur. Et pas seulement des objets, ses services,

On assiste aussi à des concepts tout à faits intéressants Par exemple certains tirent profit du web en se commissionnant sur la vente d'objets comme le très célèbre Ebay et d'autres du même acabit.

Un autre concept tout aussi intéressant est le service gratuit pour l'internaute. Cela n'est pas toujours le cas comme expliqué avant.

Mais imaginons un service mondial qui fait tout ce dont l'internaute a besoin . Un service qui mette en relation les internautes du monde entier dans le but de leur permettre d'acheter entre eux leurs produits ou vendre, échanger, donner, faire leur propre promotion de leur passion , activités, diffuser une information capitale, un événement.

Par exemple, si vous vous trouvez en chine votre voisin de quartier peut faire des affaires avec vous alors que la veille il ne vous connaissait même pas.

Aujourd'hui Ebay fourni ce type de prestation avec la vente aux enchères. D'autre sites traitent du troc d'autres encore encouragent les don etc.. . Mais apparemment, on assiste à présent au développement de sites tout en un adaptés aux besoins des internautes. En réalité je n'en connais qu'un seul BUY-EXCHAGE mais je suppose que d'autre trouveront le concept séduisant et lui emboîterons sûrement le pas.

Le principe est génial . Il consiste à centraliser de nombreux services utiles sans que cela ne coûte un euro.
Bien qu'on ne puisse pas comparer l'incomparable, citons le très célèbre site mondial Buy-exchange.com qui propose à l'internaute une gamme complète de services gratuits. Dans plus de 100 catégories telles que l'emploi, l'immobilier, il offre pas moins de 17 services applicables sur 100 catégories et se décline en 6 langues. Parmi ces services, citons la vente classique, aux enchères, l'échange, le don, offre et échange de services, la promotion, offres et demandes d'emploi, communiqué de presse, hobbies… où chacun peut s'exprimer librement.

Toutes les combinaisons sont possibles bien sur entre les 100 catégories et les 17 types d'annonces ce qui fait un nombre immense 1700 combinaisons possibles. Par exemple quelqu'un échangera pour les vacances sa maison avec celle de quelqu'un d'autre.
Ainsi l'internaute n'a plus à rechercher le site qui correspond à son besoin puisque désormais un seul site répond à quasiment tous les besoins qu'une personne exprime dans la vie quotidienne.
Ce concept révolutionne la manière de concevoir la toile

Dans la mise en relation entre particuliers il y le secteur de l'emploi. La plupart des sites web très connus collectent les candidatures auprès des demandeurs d'emploi et proposent aux entreprises un service rémunéré.

échanger, se faire connaître pas seulement dans son quartier mais dans le monde entier. Des sites comme ebay offrent quelques uns de ces services

http://vente-en-ligne.over-blog.fr/article-la-vente-en-ligne-profil-d-une-evolution-40112591.html acès gratuit

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